Est-ce qu’il y a une possibilité pour que l’on rende compatibles tous les sangs à un individu, sans risque de rejet même pour une greffe ?
Si c’était possible, cela répondrait aux besoins des patients qui sont en instance de greffe d’organe et pour lesquels on ne trouve que difficilement des donneurs ou des organes compatibles. L’idée avait été mise sur la table depuis plus de 10 ans et comme toujours, il faut du temps.
Mes sources pour la rédaction de cet article proviennent du film : « Le scandale du siècle Coffret double DVD volume 1 & 2 Les solutions du Dr André Gernez ». En fin d’article, retrouvez la recette du Dr André Gernez pour supprimer dès la naissance d’un enfant les terrains allergiques. Offrir à son bébé une vie sans allergies, c’est possible ! La méthode est simple et presque gratuite. Ne comptez pas sur Big Pharma, ce n’est pas brevetable !
Bonne lecture…
Greffe d’organe sans rejet
Le Dr André Gernez nous relate un fait étrange qu’il avait lu dans le journal « NOUVELLES SCIENCES ET SANTE » : Un hôpital de Toronto a greffé des cœurs à des enfants qui venaient de naître, sans aucune médication. Le Dr Gernez déclare, « On leur a greffé un cœur qui tient (sans rejet) ! On a attendu 10 ans pour avoir assez de recul, au bout de 10 ans ces gosses jouent au football ! Ils n’ont jamais eu une drogue, ils n’ont fait aucun rejet ! C’est tout de même phénoménal ! Vous en avez entendu parler ? En France ? Autrement dit, des petits phénomènes inconsistants (de rien du tout) font l’objet de la mobilisation de tous les médias et voilà une chose fondamentale, on a réussi à greffer des cœurs étrangers à des nourrissons sans la moindre médication, ça vaut la peine tout de même d’être dit et d’être su ! C’est su partout sauf en France. Voulez-vous m’expliquer pourquoi ? »
Comment est-ce possible ?
Il répond, « Il existe après la naissance, une période tout à fait particulière, la reconnaissance tolérance. C’est-à-dire que l’enfant qui vient de naître a un système immunitaire, un système de rejet de ce qui n’est pas à lui, qui n’est pas encore arrivé à maturité. Il ne s’est pas encore déclenché, il est vierge, il est neutre de ce côté-là. Il passe par une phase de reconnaissance, il reconnaît des protéines qui constituent d’abord son organisme propre. Il faut bien qu’il reconnaisse son propre organisme pour ne pas le rejeter ! Et en plus qu’il reconnaisse les éléments de son environnement pour ne pas être en constante action de rejet. Il faut qu’il s’y adapte. C’est ce qu’on appelle « la reconnaissance tolérance » c’est-à-dire qu’il y a un contact avec les allergènes, des protéines étrangères à lui de manière à les reconnaitre comme étrangers et tolérés. Soit que ces éléments lui appartiennent (c’est son propre organisme), soit qu’ils soient extérieurs (mais il les tolère), car il sait qu’il faudra bien vivre avec eux. C’est tout à fait classique, c’est même scolaire.
La solution était extrêmement simple, il fallait reprendre le contact avec les éléments étrangers à l’organisme et à l’environnement que l’on donne, qu’est l’environnement périnatal. Il faudrait reprendre le contact avec :
- de la poussière
- des acariens
- les cheveux
- les pollens
- Ainsi de suite…
Simplement provoquer le contact pour que le bébé qui vient de naître, le nourrisson, fasse connaissance, accepte et tolère par la suite tous ces facteurs qui autrement sont considérés par l’organisme comme agressifs et entraînent une réaction immunitaire de rejet qui est l’allergie, l’asthme. Cette absence de rejet, pour des facteurs extrinsèques à l’organisme avec lequel il se met en contact, est aussi valable pour les éléments figurés du sang, les cellules, les lymphocytes, les globules rouges, globules blancs… Est-ce que l’on en a la preuve ? Oui, car cette période de « reconnaissance tolérance » est antérieure à la naissance. Autrement dit, quand le bébé arrive, il est encore un fœtus, il arrive à la phase prénatale ; on a la confirmation chez des jumeaux qui sont de faux jumeaux, leurs sangs présentent un mélange, alors qu’ils sont différents, l’un va tolérer le sang de l’autre, sans rejet.
Est-ce que nous avons une confirmation expérimentale ?
On a mis un cœur à la place d’un autre, sans couverture médicamenteuse, sans rien du tout, dans des conditions d’âge qui convenaient et c’est devenu tolérance, il n’y a pas eu de rejet. Lorsque l’on greffe un cœur, on greffe aussi les éléments figurés du sang du donneur et néanmoins il n’y a pas eu de rejet non plus.
La théorie dite « hygiéniste » (qui devrait s’appeler « non-hygiéniste ») a été validée à l’unanimité en 2006, au congrès mondial d’allergologie à Berlin. Il aura fallu quelques décennies, mais comme toujours, après une longue filière, un long périple à l’étranger, elle a été validée, c’est devenu classique alors que c’était contraire à ce que l’on croyait avant. Avant on pensait qu’il fallait une asepsie rigoureuse au moment de la naissance. Maintenant on sait que c’est le contraire. »
NOTA (Naissance par les voies naturelles VS césarienne) : La stérilisation est inutile en raison de la couverture par les immunoglobulines maternelles présentes dans les 3 premiers mois suivant la naissance de l’enfant. Remarquons aussi que rares sont les mamans qui acceptent cette pratique « non-hygiéniste ». Quel dommage pour l’enfant qui augmentera le nombre alarmant d’enfants victime d’allergies et d’asthme. À la fin de l’article, je vous donnerai la recette du Dr Gernez pour éviter cette tragédie. Pour ce qui concerne le nouveau né , à la naissance les intestins sont stériles. Avant le lait maternel dont il a la possibilité de bénéficier grandement, le premier moyen naturel que dame nature nous a donné est la flore vaginale de la maman . Lorsque le bébé a la chance de venir par les voies naturelles et donc de passer par le vagin, au passage il « lape » spontanément une petite quantité de ce trésor et l’avale donc, ce qui est le tout premier point de départ de l’ensemencement. Poursuivi bien sûr par un allaitement de longue durée qui enrichira cette flore indispensable. Lorsque l’accouchement se fait par césarienne , la maman dispose de quelques heures pour remédier à la chose et permettre au bébé de profiter de cette flore. Pour ce faire , elle doit mettre ses doigts dans son vagin et les faire « téter » à son petit (ce qu’il fait goulûment d’ailleurs, sentant naturellement que c’est bon pour lui! merci dame nature!!!). Et donc, ainsi, le bébé n’est pas pénalisé.
Comment le démontrer ?
Dr Gernez : « Il faut faire une expérience animale. Ça consiste à prendre une vingtaine d’animaux de souches très diversifiées (des lapins par exemple), à mélanger des sangs de souches très différentes pour couvrir les variations sanguines qui différencient une race d’une autre, les mélanger et ensuite les brumiser, c’est-à-dire de faire une sorte d’aérosol pour mettre l’animal en contact. Le contact étant pris, la reconnaissance étant faite, la tolérance doit s’ensuivre. Au bout de quelques mois, nous verrons bien s’il tolère cette transfusion qui serait devenue universelle. »
NOTA : La suite concerne un projet de sang universel que le Dr Gernez a abandonné en raison des risques de contamination de certains donneurs. Cependant, et c’est moi qui le précise, il ne serait pas inutile qu’à la naissance (avant le 3ème mois), la famille (au minimum papa et maman) fournisse un peu de sang qui sera mélangé puis brumisé (en spray) au-dessus du bébé. C’est une sorte d’assurance au cas où un jour, par exemple à la suite d’un accident, il faille dans l’urgence faire un don d’organe. Comme il y a un manque de donneurs, la famille qui aurait participé à la naissance à cette reconnaissance tolérance, pourrait un jour sauver une vie en offrant un organe qui présenterait un avantage extraordinaire : être toléré sans médicamentation, sans drogue, sans aucun risque de rejet ! Pour reprendre l’expression du Dr Gernez, « c’est d’une simplicité biblique et d’une grande générosité ».
L’essentiel ayant déjà été fait par les Canadiens avec 10 greffes de cœur sur des nourrissons de moins de 3 mois, nous pourrions espérer qu’un jour cette méthode soit expérimentée, validée puis autorisée.
Comment supprimer dès la naissance d’un enfant les terrains allergiques ?
La procédure est similaire à celle préconisée pour rendre compatible des sangs très différents et donc des organes sans rejet (avant le 3ème mois après la naissance). Elle consiste à recueillir de la poussière tout autour de l’environnement du bébé (dans sa maison ainsi que dans la maison de ses grands-parents par exemple), recueillie de préférence en été (période à forte présence en pollen), ou dans un vieux sac d’un aspirateur qui n’aurait pas été nettoyé depuis la précédente période estivale. Le Dr Gernez recommande d’y ajouter un mélange le plus diversifié possible de pollens (en vente dans les magasins bio). Prenez une pincée de ce précieux mélange et soufflez-le au-dessus du bébé pour qu’il le respire. En principe, un contact suffit pour la « reconnaissance tolérance », mais rien ne vous interdit de le faire deux fois ! Le Dr André Gernez nous affirme l’avoir fait sur ses petits enfants avec un succès total, mais c’est sans aucune garantie (à la liberté de chacun d’essayer ou pas).
NOTA : Lorsque la naissance se fait par la voie naturelle, le bébé est inséminé par les bactéries de la mère et aussi celles de l’environnement (en partie). Ce n’est pas le cas des enfants nés par césarienne, et c’est là que prend toute l’importance de la théorie « hygiéniste » en mettant ces bébés en contact avec les bactéries de la mère et leur environnement dans sa plus grande diversité.
Soutenons l’association qui défend les idées du Dr André Gernez.
Voici le lien du site internet de l’APAG : http://www.apag-asso.org/site/
Merci à l’APAG de m’avoir donné accès à de précieuses informations qui me permettront de faire d’autres articles.
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Merci et à très bientôt pour un prochain article !
Sylvain RAVEAU